« Si tu n'es pas un artiste professionnel, si tu n'es pas un artiste qui a joué sur de grandes scènes. Ce n’est pas un concert communautaire, ou un concert malien, ou guinéen ou ivoirien, c'est un concert normal, un concert international. Il y'a des règles, le timing donc Sidiki a fait son programme avec son équipe. Quand je suis venue à Bercy, ils m’ont respecté. Je n'ai jamais été respecté dans un événement comme le concert de Sidiki Diabate. Parce que je suis venue à Bercy j'étais à la porte, je ne suis pas rentré, j'ai appelé...Ils ont donné comme quoi l’artiste qui est là-bas faites le monter dans sa loge. Moi-même je ne m'attendais pas à ça, qu'ils ont réservé une loge spéciale pour moi avec tout le confort...Tous les artistes n'ont pas eu de loge ce jour-là dhè mais Sidiki et son équipe ont fait ça pour moi. »

« Parmi les fans de Sidiki Diabate si c'est 60% des Maliens, tu verras que 20% sont des Guinéens et les 20% restants sont pour les autres nationalités. Et pour la programmation, Sidiki avait prévu de faire jouer les artistes guinéens à la fin, clôturer le concert avec nous mais Dieu a fait quand notre tour est arrivé ça a trouvé que l'heure à laquelle que Bercy coupe les sons était déjà arrivé. Ce n'était ni la faute de Sidiki, ni celle des organisateurs. C'est le temps qui nous a rattrapé. Mais le plus important ce n'est pas dans cette histoire ce n'est pas Azaya, DjelyKaba Bintou ou Black M ont chanté ou pas, le plus important c'est la fierté que Sidiki a donné à l'Afrique, la réussite de l'événement c'était ça le plus important. » A-t-il dit