Sortie le 23 décembre dernier, le clip vidéo de la BMW, qui singe son come-back, continue son quart d’heure de gloire et cumul actu plus 1.200.000 vues sur YouTube. Invité de l’émission "Hits and Clips", la chanteuse guinéenne Djelikaba Bintou, continue de mettre à jour les différentes interprétations données à son single intitulé « La Patronne ».
À partir de la troisième minute de cette interview rendue publique, l’épouse du chanteur guinéen Azaya, en répondant à la question de son interlocutrice, à savoir « Qui est la patronne et qui est la bonne ? », précise que :
« Quand je parle de la patronne, le Guinéen parle sans comprendre et sans chercher à comprendre. Quand je dis patronne, ce ne sont pas seulement les femmes qui sont mariées, qui sont dans le foyer qu’on peut appeler patronne. Moi Djelikaba Bintou, je suis patronne trois fois. » Dit-elle à l’entame
« La première des choses, une patronne, c’est une femme qui prend soin d’elle, qui ne dépend pas d’un homme, qui se bat pour elle-même, pour son avenir, sa famille et ses enfants. C’est celle-là que j’appelle patronne, quel soit marié ou pas. »
Dans un autre contexte, l’auteure de l’album « My Story », considère les femmes qui ne sont pas mariées, mais qui entretiennent une relation avec un homme du même statut, et qui bénéficie de toute la visibilité que peut lui offrir cette personne est aussi une patronne.
Et de poursuivre : « Et en troisième lieu, c’est les femmes comme moi, les mesdames. Mais il y a aussi des femmes qui sont mariées, mais qui ne sont pas des patronnes. Il y a d’autres, elle-même peuvent être la base de leur malheur dans leur foyer. Tu es dans ton mariage, tu ne respectes pas ton mari, ses parents, tu n’obéis pas, tu ne fais rien au fait, tu es que dans le mariage, tu n’aides pas ton mari, tu n’es pas une femme battante, on ne peut pas t’appeler Patronne. »
« Les femmes qui sont dans les foyers, soumises, elles respectent leurs maris, cet homme sera obligé de t’aimer, de te mettre au sommet, tu seras forcément une patronne… » A-t-elle conclu
Ci-dessous la vidéo complète de l'interview
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